6.2.07

MARWAN CHAMOUN : " LES JUIFS ONT MASSACRE UN PRETRE A DAMAS EN 1840 "

Le poète libanais Marwan Chamoun : Les Juifs ont massacré un prêtre chrétien à Damas en 1840 et ont incorporé son sang aux matzot.

Voici des extraits d'une interview du poète libanais Marwan Chamoun, diffusée sur TeleLiban le 30 janvier 2007.

Visionner les extraits sur http://www.memritv.org/search.asp?ACT=S9&P1=1374.

Marwan Chamoun : "Combien d'entre nous, Libanais ou même Arabes, savent quelque chose du Talmud ? Ou du livre Dévoiler le Talmud ? Ou du [livre] Du sang pour la matzah de Sion, [qui évoque] le meurtre du prêtre Tomaso de Camangiano, Sicilien doté de la citoyenneté française de l'époque de Muhammad Ali Pasha, en 1840…"

(…)

"[L'ancien] ministre [syrien] Mustafa Tlass a écrit un volumineux ouvrage sur le sujet, dans lequel il a inclus tous les documents écrits par le consul et les diplomates français au Liban.

(…)

Le monde aime les Juifs. C'est la chrétienté qui dirige – l'Occident chrétien. Arabes et musulmans – pourquoi ne pas profiter d'une chose pareille ? Un prêtre a été abattu en présence de deux rabbins au cœur de Damas, chez un ami proche de ce prêtre, Daoud Al-Hariri, qui dirigeait la communauté juive de Damas. Après son exécution, son sang a été recueilli et récupéré par les deux rabbins. Dans le but ? Celui de vénérer leur Dieu, car en buvant du sang humain, ils peuvent se rapprocher de Lui. Où sont nos diplomates et nos politiciens ? Pourquoi ne profitions-nous pas de ces affaires historiques, qui nous sont présentées sur un plateau en or, simple et éternel ?

Comme j'ai dit, on peut trouver ces livres dans les rues de Beyrouth. Il existe entre 20 et 30 livres de ce style. Je dois en avoir acheté près de 2000 exemplaires depuis leur publication, peut-être plus. J'aimerais dire 20 000 exemplaires…. Quand quelqu'un se marie, plutôt que de lui offrir des chocolats, je lui offre un de ces livres. Quiconque le lit pour la première fois est parcouru d'un frisson d'horreur et d'incrédulité. Il ne peut croire ce qu'il lit."

TEXTE REPRIS DU SITE MEMRI